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Wellington | Fabrique urbaine

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L'urbanisme en pratique

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URBS+ : Abréviation d’urbanisme, mais quand même un peu plus. Une revue hebdomadaire d’ouvrages et d’œuvres avec comme point commun un intérêt pour l’univers urbain, qui est aussi l’univers ultime de l’être humain.

Québec urbain

April 18, 2024 John Voisine
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Un Québec urbain en mutation. Gérard Beaudet, Éditions MultiMondes, 2023, 325 pages.

Une série sur les municipalités et la politique municipale au Québec [2 de 5].

Ce dernier livre de Monsieur Gérard Beaudet rend un grand service au domaine de l’urbanisme au Québec. Il est à la fois généraliste et fouillé lorsque le propos l’exige. On pourrait dire de même de la plupart des ouvrages de l’auteur publié au cours des dernières années. Nous en avons revu quelques-uns dans nos pages, en commençant par le duo essentiel pour qui veut se donner une idée de l’évolution urbaine dans la grande région de Montréal : Banlieue, dites-vous? La suburbanisation dans la région métropolitaine de Montréal (2021) et son compagnon, Le transport collectif à l’épreuve de la banlieue du grand Montréal (2022). Ces ouvrages sont uniques sur ces questions, mais il est impensable de les mettre entre les mains du novice et s’imaginer qu’ils resteront sur le dessus de leurs tables de chevet jusqu’à la dernière page. Cela n’est en rien lié à la qualité de l’écriture ou de l’argument, c’est simplement dans la nature de ces sujets. On sait aussi que l’auteur n’hésite pas à se lancer dans des propos qui ont un certain mordant. Le fameux Le pays réel sacrifié : la mise en tutelle de l’urbanisme au Québec (2000, en collaboration avec Paul Lewis, Jean Décarie et Daniel Gill) ou dans un plus récemment, Les dessous du printemps étudiant. La relation trouble des Québécois à l’histoire, à l’éducation et au territoire (2013) en sont des exemples. Mais toujours, à moins d’avoir un engagement profond envers ces questions, il ne sera pas facile d’évangéliser autour de soi. J’allais oublier, mais un autre de ses ouvrages, commenté sur cette page et qui porte un regard original sur le monde municipal, L’innovation municipale — Sortir des sentiers battus (2019, écrit avec Richard Shearmur) mérite le détour. Cela dit, encore une fois, par la nature du sujet, le réservoir des converties sera souvent assez restreint.

Mais avec Un Québec Urbain en mutation, on se retrouve devant ce rare objet : un ouvrage écrit par un spécialiste, mais qui peut facilement se partager et profiter à tous. Par son propos, emmené de façon souple et engageante, le livre est une source de prise de conscience, et de connaissance, dans le domaine. Il ouvrira la porte à de multiples discussions, pourra servir à former une base fertile et mutuelle, à travers presque tous les moments de l’histoire urbaine de la province, de la ville à la campagne en passant inévitablement par les banlieues.

Sur les traces de Un Québec en mutation

On s’en doute bien, il y a des circonstances uniques dans le développement de nos « cités et villes », nos campagnes et nos banlieues. Pourtant, il semble que presque partout, elles ont résulté en de vagues paysages qui, trop souvent, ne sont que banalité de lieu et d’expériences. Malgré ses professions d’unicité, cela nous rappelle douloureusement que notre urbanité codifiée ne fait que reproduire les pires schémas nord-américaine.

Expliquer pourquoi et comment, malgré un cheminement assez particulier dans le domaine du contrôle (mais surtout du laissez-faire) urbanistique, peut impliquer des justifications contextuelles pas toujours faciles et ceci, en dépit d’une maîtrise « professionnelle » des questions urbaine. Ou peut-être chercherons-nous à nous mettre tous sur une même page lors de discussions plus poussées, pour mieux comprendre notre passé et envisager notre futur. C’est durant ces moments, et bien d’autres similaires, que cet ouvrage de Gérard Beaudet (1) sera d’un bon service.

Par exemple, on comprend bien tous de manière abstraite que le niveau municipal est important pour une saine vie politique et civique. Mais qui sait que Lord Durham n’en pensait pas moins? Ainsi, dans son fameux rapport sur les rébellions de 1837-38, il écrivait que : « l’on peut considérer comme une des causes principales de l’insurrection […] l’absence totale d’institutions municipales qui donneraient au peuple une certaine autorité sur les affaires régionales ». En effet, qui l’eût cru, les gens aiment avoir un mot à dire, ou du moins sentir qu’ils pourront le dire et être minimalement entendu dans les affaires qui les concernent de près, comme dans leurs quartiers et sur leurs rues. Malheureusement, ces dernières années, on est passé d’un régime où le bulldozer n’était jamais loin d’aplatir son quartier, surtout si l’on était pauvre dans un quartier oublié, à un régime de gouvernance où plus rien qui profiterait à la collectivité ne peut se construire. L’exception sacrée : les réseaux autoroutiers et les routes sous le contrôle du ministère des Transports (2). Et pour faire bonne figure, les centres commerciaux à la jonction des bretelles d’autoroutes. Aussi, jamais trop d’espace, de fluidité ou de « sécurité » pour les automobiles.

Cette réalité est la nôtre. Il faut admettre que malgré nos cadres législatif tardivement adopté et implanté (par rapport aux autres entités comparables), nous en sommes essentiellement au même point bas que nos pairs nord-américains. Pour retracer cette histoire et enclencher une discussion sur des bases solides, on s’offre et on partage ce livre (3).



(1) Je ne peux pas passer sous silence, étant donné la nature de l’ouvrage, le manque d’un index. Pourquoi affliger le lecteur ainsi?

(2) J’oubliais le “et de la Mobilité durable” mais encore, qui y pense?

(3) Encore une fois, le livre est ce qu’il y a de mieux dans ce type qui combine l’histoire et l’analyse avec un point de vue. C’est pourquoi il était surprenant d’y rencontrer certaines erreurs évidentes, comme lorsqu’il est dit à la page 81 que la « Standard State Zoning Enabling Act (SZEA), une loi fédérale […] » américaine; bien entendu, c’était plutôt une loi modèle proposée en 1922 par le Département du commerce américain aux États du pays afin de permettre à leurs villes de moderniser leurs gestions. La vaste majorité des états de l’époque ont adopté une version du Enabling Act, mais la plupart de leurs villes se sont contentées d’adopter une forme de zonage, souvent de nature raciste et ségrégationniste dans l’application, à défaut de pouvoir l’être dans le texte. Autrement, les « convenants », de nature privée, ne se gênaient pas pour l’être.    

Nous avons abordé ces questions, entre autres en parlant du livre de Monsieur Richard Rothstein, The Color of Law.

Tags Gérard Beaudet, Urbanisation, Province de Québec, Rénovation urbaine, Un Québec urbain en mutation, Série municipalité

Ne peut se résoudre qu'en voiture

May 4, 2023 John Voisine
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Le transport collectif à l’épreuve de la banlieue du grand Montréal. Gérard Beaudet, Presses de l’Université Laval, 2021, 216 pages.

Cette chronique est la dernière de notre série Trans&Transit [9/9]

On ne sera pas surpris que ce dernier livre de Monsieur Gérard Beaudet* soit un incontournable pour comprendre l’histoire, le contexte et les contraintes des transports collectifs comme moyen d’accessibilité à l’échelle du grand Montréal. Plus spécifiquement, l’auteur visite et examine quelques-uns des projets « novateurs » TOD mis de l’avant par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) comme milieu d’accueil du développement futur de la métropole. Les pôles proposés ont-ils la capacité et les moyens de croître en tant que noyaux urbains et pivots de mobilités en transport collectif et actif ? Le PMAD de la CMM vise à canaliser 60 % de la croissance des ménages dans les aires TOD et 35 % des déplacements en période de pointe du matin par transport collectif d’ici 2031. Il semble raisonnable de penser que le premier objectif sera atteint, mais le deuxième laisse dubitatif, surtout lorsque l’on sait qu’il est d’à peine 25,8 % maintenant (1).

Ainsi, il y a cette stratégie de canalisation de la croissance qui compte sur les vertus des TOD pour opérer une transformation fondamentale dans les modalités d’accessibilités à l’échelle de la CMM. Mais comme le démontre Gérard Beaudet, l’héritage de la structure métropolitaine, entièrement capturé par la logique automobile, se liguer contre cette possibilité. Ce n’est pas tellement que l’occupation du territoire métropolitain se soit étalée et dispersée au point d’être irréconciliable avec une desserte en transport collectif, même s’il y a beaucoup de cela. Plutôt, en regardant le modèle proposé avec Horizon 2000 en 1967, on remarque une structure métropolitaine très similaire à ce qui existe aujourd’hui. Mais cela devait être, en l’an 2000, pour une région de 7M d’habitants.

La différence, fondamentale, est dans l’absence de densité (on est loin du 7M) et de concentration urbaine des activités. La consommation en territoire est la même, mais pour un bassin de population presque 2x moindre. L’explication : le triomphe du tout à auto et son corollaire, l’autoroute. Le résultat est qu’en 2023, l’Indice d’accessibilité au transport collectif (2) démontre qu’une fois sorti de l’île de Montréal, le niveau « Très peu d’options de transport en commun » devient vite la norme.

Sur les traces de Le transport collectif à l’épreuve…

Pour réaliser un environnement TOD qui fonctionne, c’est à dire qui agit en tant que vecteur d’accessibilité des destinations désirées en transport collectif et actif, il faut que ces derniers soient de nature « structurant ». Et même si, comme le signale l’auteur, ce dernier qualificatif est approprié « comme une incantation » pour tout nouvel équipement de transport collectif ou extension de réseau, c’est une occurrence assez exceptionnelle lorsqu’une ligne de transport collectif est véritablement structurante pour son environnement urbain. Cela est attribuable au fait qu’il doit y avoir une imbrication assez intime entre les usages, la densité de population et la densité des activités pour que cet effet structurant se matérialise. On parlera aussi souvent des trois D des TOD : Density, Diversity, and Design. Mais, comme le demande l’auteur, qu’en est-il des autres 3D, comme l’accès aux destinations, la distance, réelle ou perçue, pour se rendre à destination (first/last mile problem) et la gestion de la demande (le TDM) ? Et que dire de l’offre phénoménale en stationnement, qui se fait presque plus abondante dans les TOD (sous prétexte de faciliter l’usage des transports collectifs, justement) ? La vérité est que ces développements constituent plutôt de l’Auto-Oriented transit (un « transit » qui dessert une population captive de l’automobile).

Monsieur Beaudet met à « l’épreuve du terrain » une vingtaine des cent cinquante-neuf (159) aires TOD de la CMM. Le mieux que l’on trouve à en dire est qu’elles sont « fortement contrastées » entre elles, mais ce contraste n’aura pas permis de dégager de formules gagnantes montréalaises. Bien au contraire, elles ne font que masquer par quelques victoires à la Pyrrhus les déficiences chroniques, morphologiques et structurelles des transports collectifs à cette échelle du territoire métropolitain.

Ce qu’il faut comprendre de cette lecture est que la tâche d’imbriquer de façon symbiotique une forme urbaine à une infrastructure de transport collectif demande un engagement actif de toutes les parties. De plus, c’est un engagement qui doit viser des objectifs et implanter un design urbain qui est presque « contre nature » par rapport à la morphologie habituellement de banlieue. Il n’y a malheureusement rien de « contre nature » dans les aires TOD de la CMM.


* Avec une préface bien cadrée d’un enseignant de qui je garde le meilleur des souvenirs, le professeur Paul Lewis, maintenant à la retraite.

(1) On trouve cette statistique sur la page Web de l’Observatoire du Grand Montréal (CMM), onglet Transport—> Modes de déplacement — Enquête OD—> Part modale du TC — pointe AM (%).

(2) On trouve cette information sur la page Web de l’Observatoire du Grand Montréal (CMM), onglet Transport—> Indice de la mobilité durable—> Indice d’accessibilité au transport collectif.

Tags Le transport collectif, Gérard Beaudet, Montréal, Banlieues, Transport collectif

La banlieue en évolution

April 1, 2022 John Voisine
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Banlieue, dites-vous?—La suburbanisation dans la région métropolitaine de Montréal. Gérard Beaudet, Presses de l’Université Laval, 2021, 490 pages.

Il y a quelques années, pour souligner la parution de la quatrième édition du livre phare de Jean-Claude Marsan sur l’histoire de l’architecture et de l’urbanisme à Montréal, Montréal en évolution, l’auteur du présent ouvrage, Gérard Beaudet, faisait la revue de ce qui était devenu, contre toute attente, le volume incontournable pour comprendre l’environnement bâti sur l’île de Montréal. Monsieur Beaudet finissait son article en souhaitant que cette édition du livre de Monsieur Marsan puisse servir comme source d’inspiration pour une somme comparable, mais cette fois du type «Grand Montréal en évolution». Finalement, la personne à s’être laissé inspirée par l’appel fût l’auteur lui-même et ainsi, Banlieue, dites-vous? est l’excellent produit de ce qui a dû être cette longue recherche et mûre réflexion. Ce livre mérite une place de choix à côté du premier en tant que volume phare dans la compréhension de Montréal, mais cette fois à l’échelle métropolitaine, par voie de sa suburbanisation.

Mais comment penser qu’un ouvrage avec ce titre puisse être une histoire de l’évolution urbanistique, morphologique et architecturale du Grand Montréal? L’histoire de la construction urbaine du grand Montréal n’est-elle rien d’autre que celle de sa banlieue? En fait, même si la banlieue métropolitaine ne se réduit pas à un stéréotype, il n’y a aucun doute que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, autant la rive-sud que la rive-nord de l’île, toute la « confluence » du grand Montréal, s’est fait moduler sur un schéma caractéristique de la logique « banlieusarde ». Certainement avec un léger vent de villégiature au début du siècle passé, mais foncièrement typique de ce qui a soufflé et finalement balayé l’ensemble du continent nord-américain depuis 1945.

Ce livre vient à la fois identifier et décrire matériellement, dans le contexte de chacune de ces localités d’implantation, ce que l’auteur appelle notre «patchwork suburbain» (cinquième chapitre). Il expliquer de façon convaincante la genèse banale, mais aussi si particulière en contexte nord-américain, du déploiement de la banlieue dans le grand Montréal. Ainsi, le rattachement à la banlieue pavillonnaire américaine est immanquable, mais l’illustration des contrastes par rapport à la production américaine (même canadienne) est clairement dessinée.

Sur les traces de Banlieue, dites-vous?

En fait, les défis et les effets délétères engendrés par le patchwork suburbain dépassent depuis longtemps ceux posés par un étalement qui explose en contexte d’une population qui croît à peine (malgré les prévisions glorieuses d’une autre époque). Le mot banlieue ne définit plus vraiment la relation de ces entités urbaine par rapport à la ville-centre. Il est depuis longtemps possible de vivre une vie complète dans une banlieue montréalaise typique. Avec un bref intermezzo dans une université montréalaise, le reste de sa vie pourrait se dérouler entièrement dans un des royaumes de banlieue de la confluence. Tous les algorithmes urbains du monde des services, du commerce, de la production manufacturière ou industrielle et de la consommation sont optimisés pour une vie en banlieue. Les banlieues montréalaises ont presque atteintes, pour emprunter l’expression d’une autre discipline, leurs escape velocity. La suburbanisation montréalaise repose sur un quadrillage autoroutier universel et par conséquent, rares sont les endroits où une vie sans voiture est imaginable ou autrement souhaité et possible.

Bien entendu, les choses on commencé doucement, de façon presque pittoresque, avec les tramways urbains et certaines lignes de trains (encore en service). Mais cette logique a pris fin avec la Grande Dépression et la Seconde Guerre mondiale. Même durant la guerre, les assises étaient posées pour une occupation et une utilisation bien différente du territoire métropolitain.

Dans toute cette histoire, un des aspects qui finit presque par choquer par son ampleur, c’est l’absence quasi totale d’une pensée urbaine ou même d’une urbanité cohérente. Le laissez-faire, autant par manque de capacité (avérée ou perçue), de volonté, ou par complaisance des autorités locales envers les développeurs (souvent les mêmes) serait risible si les conséquences n’étaient pas si souvent irréversibles. L’auteur n’est pas le premier à parler des modalités de fabrication de la banlieue qui se rapproche des chaînes de Ponzi. Prendre conscience de ceci demeure essentiel, même si cette lecture ne rassurera personne.

L’ouvrage de Gérard Beaudet vient synthétiser une histoire, offrir des constats et fournir des analyses indispensables sur la suburbanisation montréalaise à cette échelle qui manquait, celle de la région métropolitaine. Nous en retirons pour notre part une meilleure compréhension des enjeux et des défis émergents.


Note 1 : Full disclosure : J’ai eu la chance d’avoir Monsieur Beaudet pour une session et un cours durant ma formation dans ce qui était alors l’Institut d’urbanisme de l’Université de Montréal. Il était un pourvoyeur extraordinaire de cours magistraux et moi un bien piètre étudiant!

Note 2 : La semaine prochaine, deuxième dans notre série de six livres sur la banlieue, cette fois avec Borderland : Origins of the American Suburb, 1820–1939

Note 3 (2022-04-14) : L’ouvrage ne comporte pas d’index ! En d’autres termes, il est très difficile de retrouver ou trouver une information spécifique ou de colliger toute l’information et l’analyse sur un thème donné. (Bien sûr, il y a une version PDF qu’il est possible de rechercher par mot-clé, mais ceci n’est pas la question.) J’ai soulevé ce manquement dans un courriel à la maison d’édition (Presses de l’Université Laval — PUL) ; quelques heures après, je recevais une réponse pour me dire qu’on allait transmettre l’information à l’auteur, dans l’éventualité d’une deuxième édition. Il n’en demeure pas moins que la responsabilité de composer un index appartient à l’éditeur, et que l’absence d’un index, de la part d’un éditeur universitaire dans un ouvrage destiné à un public spécialisé, est particulièrement inexcusable.

Tags Banlieue dites-vous, Gérard Beaudet, Banlieues, Métropole, Étalement

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